rooneymcnibnug reviewed The crying of lot 49 by Thomas Pynchon (Perennial fiction library)
The Crying of Lot 49
4 stars
Love the early pangs of some of his larger themes and main topics. Loved the ending here.
138 pages
Love the early pangs of some of his larger themes and main topics. Loved the ending here.
This was a re-read for me, figured I'd read it on a train to New York, finished it on the way back. I definitely enjoyed it more than I did the first time around, I think because I was way young when I first read it and didn't understand it's place in the literary canon, or what it was trying to do. But with that being said, I still didn't know what the hell was going on or what I was supposed to take away from it. It is just as dense and inaccessible as I remember, but there were several moments that made me laugh during this read because I caught a reference I know I didn't catch before. I probably won't re-read it again knowing my feelings still stand despite being older, but it was fun.
Premier contact avec Pynchon suite aux recommandation d'une amie. Et oh boy, what a ride.
Le début, c'est Oedipa, une femme avec sa vie, ses problèmes, son mari hypersensible et son psychiatre avec un drôle d'accent allemand qui se retrouve exécutrice testamentaire pour un milliardaire qu'elle a connu autrefois. Mais ce n'est qu'un prétexte, car très vite Oedipa va se retrouvée plongée dans un mystère.
Je ne divulgâcherai pas, et quand bien même je le ferai ça n'aurait pas grand sens. Rien n'est clair ni clairement expliqué dans le récit. Oedipa court après des symboles, des bouts de sens qui sont cachées dans des recoins de bars et des boîtes postales sous des bretelles d'autoroute. Oedipa rencontre des personnages un peu foutraques (qui sont à peu près tous horny pour elle, c'est un peu gênant et ça m'a un peu sorti du texte). Chaque graine de sens qu'elle obtient s'accompagne …
Premier contact avec Pynchon suite aux recommandation d'une amie. Et oh boy, what a ride.
Le début, c'est Oedipa, une femme avec sa vie, ses problèmes, son mari hypersensible et son psychiatre avec un drôle d'accent allemand qui se retrouve exécutrice testamentaire pour un milliardaire qu'elle a connu autrefois. Mais ce n'est qu'un prétexte, car très vite Oedipa va se retrouvée plongée dans un mystère.
Je ne divulgâcherai pas, et quand bien même je le ferai ça n'aurait pas grand sens. Rien n'est clair ni clairement expliqué dans le récit. Oedipa court après des symboles, des bouts de sens qui sont cachées dans des recoins de bars et des boîtes postales sous des bretelles d'autoroute. Oedipa rencontre des personnages un peu foutraques (qui sont à peu près tous horny pour elle, c'est un peu gênant et ça m'a un peu sorti du texte). Chaque graine de sens qu'elle obtient s'accompagne d'un nouveau désemparement.
Franchement, je ne sais pas dire ce qui est important dans ce livre, ni ce qui a fait qu'il a si bien marché pour moi. C'est peut-être la texture du réel qui se ressent à chaque mot, chaque phrase. Peut-être le délire d'Oedipa à la fin du texte qui m'a rappelé très fort une Mrs. Dalloway qui serait sous LSD roulant à 200kmh sur des autoroutes californiennes. Que chaque personnage est un peu décalé avec le "réel", mais que je me suis rendu compte en écrivant ça que ces personnages n'étaient pas moins des parties du monde que d'autres, et que ce "réel" et ce "banal" qu'on aime à penser n'est qu'un très fin voile qui cache une réalité beaucoup plus intense.
J'aime bieng
The back cover says “comic talent” and “wild humour” but I didn’t get it. There was one hilarious seduction scene early on and the characters are quite amusing but I found the most of it rather dull.
The writing reminded me of the Ipcress File which I read earlier in the year and they were published 4 years apart n the 1960s so this post modern splurge of multi page paragraphs was obviously the thing back then. Now it reads like a NANOWRIMO project someone would churn out in one month.
The worst parts are the endless information dumps about the Courier’s Tragedy. I only finished it because it was mercifully short and I don’t think I’ll be trying any more Pynchon.
I seem to recall enjoying vineland more, but this was still amazing.